Eine Anzahl von Beiträgen beleuchtet die zahlreichen Beziehungen der Schweiz mit dem Ausland. Und erbringt den Nachweis, dass auch ein Land ohne spektakuläre Weltmuseen und Fürstenkollektionen die Sammelleidenschaften im Europa des 18. Jahrhunderts befruchten konnte.
Nadja Ackermann
Lecture passionnante qui, au fil des lettres, offre un regard nouveau sur la médecine, les médecins et l’Europe des Lumières.
Die erstmals chronologische und systematische Auswertung seiner Briefwechsel und die Analyse seiner Rezeption in französischer Sprache, fassbar in Vorreden, Rezensionen, Illustrationen sowie Übersetzungskonzeptionen, legen exemplarisch frei, inwiefern sich in der zweiten Hälfte des 18. Jahrhunderts über kulturellen Transfer Fremd- und Eigenwahrnehmungen formierten und transformierten.
Focusing on the early moment of the French reception of Austen’s work, this book charts the origin of this discrepancy.
En focalisant leur attention sur les définitions et les usages de la notion de sensibilité dans les discours savants et les oeuvres littéraires, les études réunies dans ce volume ont l’ambition de montrer en quoi la Suisse de la seconde moitié du XVIIIe siècle, telle une chambre d’échos, a répercuté, diffusé, et souvent prolongé les idées de l’Europe des Lumières.
Les travaux réunis dans ce volume apportent de nouveaux éclairages sur l’encyclopédisme européen de la seconde moitié du XVIIIe siècle.
Diese Studie untersucht die grossen strukturellen Veränderungen wie Agrarmodernisierung, Protoindustrialisierung, Volksaufklärung oder Alphabetisierung, welche sich in der zweiten Hälfte des 18. Jahrhunderts in der Schweiz abspielten, aus der Perspektive des Kleinbauern und Tagelöhners Heinrich Bosshard aus Rümikon bei Winterthur.
Prenant la forme d’une correspondance adressée à un ami confident, parsemé d’anecdotes, de pièces en vers et de tours sentencieux, il fait la part belle aux épanchements d’un cœur trop sensible pour lequel la vertu ne consiste guère qu’à obéir à ses propres élans.
Cet ouvrage a une double ambition. D’une part, mettre en lumière une période de l’histoire de Genève peu connue et le plus souvent délibérément occultée. D’autre part, livrer une tranche de vie populaire du xviiie siècle, avec ses passions et ses antagonismes, ses bons mots et ses violences, ses espoirs et ses craintes, sa raison et son utopie, son bon sens et sa folie.
Patrick COLEMAN, Anne HOFMANN, Simone ZURBUCHEN (éd.), Reconceptualizing Nature, Science ans Aesthetics: contribution à une nouvelle approche des Lumières helvétiques, proceedings of the conference organized […]